Avatar : du génie dans la simplicité

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Rassemblés autour de Jakesully, les Na’vi posent la main sur l’épaule les uns des autres, le regard tourné vers cet intrus sorti vainqueur de ses rites de passage. Vu du ciel, le groupe forme un tout insécable, scellé par cette cérémonie qui fait de lui un frère. Sur l’écran, Avatar se poursuit par un fondu enchaîné -technique narrative parmi les plus connues du cinématographe-, et substitue à cette image chorale celle de la planète Pandora, liant par le montage les individus à leur environnement et, partant, leur croyances profondes à la cosmologie qui les gouverne…

Fatiguée par le récit de ses aventures, Rose a donné durant trois heures une vision neuve du Titanic, insufflant à l’objectivité scientifique et aux objets retrouvés la douleur du drame humain. Parcourant la pièce alors que la vieille dame est déjà endormie, la caméra balaie les photos qu’elle a emporté durant son voyage (autant de souvenirs gardés à son chevet), puis plonge dans l’obscurité pour remonter le pont de l’épave qui revient soudainement à la vie, liant passé et présent en un plan-séquence et un baiser final atemporels…

Suite à un combat acharné, Ripley reprend son souffle après avoir sauvé la petite Newt de la Reine Alien, sous l’oeil et la punchline attendrie d’un androïde éventré. Citant l’épilogue du premier opus, Aliens : le retour laisse à la voix off de Ripley le soin de conclure le voyage mais y adjoint cette fois le visage endormi de la fillette, première apparition apaisée de l’enfant depuis la découverte du face hugger accroché au visage de son père – ou première apparition apaisée tout court, dans le montage pré-director’s cut. Un visage qui, le temps d’un fondu enchaîné, cédera la place à l’immensité spatiale, le montage créant un écho entre le coeur du récit et le décor glacial où il s’inscrit…

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Aliens, le retour (James Cameron, 1986)

Le public a parfois horreur des films complexes, ceux où il peut réellement se perdre, où le récit et le montage l’abandonnent. Et ce même public a régulièrement horreur des films simples, où tout est limpide au point d’avoir l’impression qu’il aurait pu lui-même écrire le film et que, par conséquent, il peut surligner sa simplicité sans chercher plus loin que la caricature ; mais si, vous savez, « Avatar c’est Pocahontas au pays des Schtroumpfs ! ». Seul critère, l’originalité. La structure et le rythme, à quoi bon en parler si le fond de l’affaire n’amène pas à se triturer les méninges ?

Les trois exemples cités plus haut relèvent de l’écriture filmique davantage que scénaristique. Cependant, James Cameron comptant parmi les artisans du blockbuster à comprendre l’intérêt d’un raccord, de la durée d’un plan, ou encore de l’expression d’un sous-texte émotionnel par l’enchaînement des images, il est clair que l’homme à l’origine du rêve apocalyptique de Sarah Connor est le même qui aura sciemment choisi les modalités d’écriture et de réalisation des ces trois oeuvres, de la SF hardcore au mélodrame historique en passant par l’aventure écolo.

Dans le cas d’Avatar, il y a certes de quoi se sentir pousser des ailes de scénariste si l’on regarde la surface des choses, le film donnant sans réserve au public tout ce qu’il est en droit d’attendre depuis des semaines de promo agressive (dépaysement, love story interraciale, conflit ethnique). Nous parlons donc du long-métrage le plus cher de l’histoire du cinéma, racontant une histoire que le public a le sentiment d’avoir vu mille fois et où l’opposition entre gentils et méchants ne souffre aucune ambiguïté. Soit ce que proposent, allez, 90% des blockbusters.

Mais avec Avatar, ce n’est pas passé. Aurait-il fallu un faux mystère, une complexité de façade ou des dialogues théoriques pour que l’on ait un os à ronger ? Les films ennuyeux à mourir malgré leur faste ont pourtant démontré au spectateur souffrant que oui, le scénario est utile même quand on peut prévoir que les gentils vont s’en sortir ; une pensée pour 2012 et Transformers 2, sortis la même année qu’Avatar et durant eux aussi 2h30. Sauf qu’eux, on peut y aller pour s’en moquer sciemment. Avatar, en bon film de Cameron qui se respecte, a davantage d’ambition.

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La petite Chihiro contemple l’horizon imaginaire bâti par Hayao Miyazaki, ou comment un long-métrage japonais fait siens la structure et la logique de Alice au pays des merveilles.

La comparaison sonnera peut-être comme un blasphème, mais qui aurait osé dire à Hayao Miyazaki que son Voyage de Chihiro, à l’époque, c’est juste « Alice au pays des animistes » ? Personne et pour cause, Le Voyage de Chihiro est un chef-d’oeuvre qui a su pénétrer l’imaginaire du grand public occidental pour y imprimer celui du studio Ghibli. Pourtant, il s’agit bel et bien de suivre l’idée générale d’Alice au pays des merveilles (question d’identité en péril incluse) pour l’articuler selon de nouvelles idées, repenser son bestiaire de façon personnelle.

Même principe avec Pocahontas et Avatar, alors que les vraies erreurs du film ont été très peu voire jamais citées. En particulier cette incohérence visible en pleine bataille, où Michelle Rodriguez continue de respirer après que son vaisseau soit exposé à l’air toxique de Pandora. Un détail, d’autant que la scène est brève, mais un détail très étonnant venant de Cameron et sa méticulosité habituelle. Encore que le personnage, selon la brèche, a pu disposer d’assez d’oxygène mais il semble bizarre qu’elle ne s’inquiète pas de la situation.

Ensuite, comme le soulignait un des techniciens d’effets spéciaux, les écrans translucides de la base scientifique où officie l’équipe de Sigourney Weaver, s’il font en effet très high tech et futuristes, doivent rendre le travail sacrément pénible pour qui voudrait se concentrer sur son boulot plutôt que sur les gens qui passent ! Une idée qui sera reprise telle quelle trois ans plus tard dans Prometheus, au sein d’un vaisseau spatial à l’environnement il est vrai nettement moins peuplé et donc plus propice à ce genre de fantaisie technologique.

Bien entendu, il ne s’agit pas ici de faire de le procès de ceux et celles qui n’ont pas trouvé leur compte dans l’histoire racontée par Avatar, simplement de chercher à comprendre, avec un recul de huit ans, ce qui a pu leur paraître si faible. D’ailleurs, s’il y a bien un point sur lequel tout le monde est d’accord, c’est le côté tristement caricatural des méchants, entre le militaire au phrasé bêtement bourrin et le corporatiste fielleux qui joue au golf entre deux menaces. Ce que l’on sait moins, ce sont les réelles motivations qui provoquent la course à l’unobtanium.

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James Cameron en compagnie d’une partie de son casting, Sigourney Weaver, Joel David Moore et Sam Worthington.

Car si le profit est de mise, il était surtout question de la survie de la Terre, agonisante, survie que ce matériau devait assurer selon le script de départ. Alors que l’on attendait de voir cette idée enfin exposée dans la version « édition spéciale » (agrémentée de 9 minutes supplémentaires et sortie le 1er Septembre 2010 dans un parc de salles réduit), il n’en fut rien. Cette sortie ne rattrapait donc qu’à moitié le loupé de 2009 : les salles IMAX auraient dû accueillir la version courte, la longue étant réservée au reste des écrans. Faute de scènes finalisées, seul le cut initial sortira partout.

De même, la version définitive proposée dans le collector DVD & Blu Ray fin 2010, si elle propose une poignée d’ajouts majeurs, passe également sous silence cet élément scénaristique qui aurait pu étoffer en quelques dialogues nos deux bad guys. Voilà peut-être la plus grosse erreur scénaristique, inexpliquée, que l’on peut imputer à Avatar. Surprenant, a fortiori quand on sait que les ajouts des dernières versions révèlent le passif de Grace (Sigourney Weaver) dans un dialogue touchant avec Jake, puis par la visite d’une école abandonnée lors de la première sortie du héros.

Cette dernière scène clarifiait l’exclusion de Grace de la tribu et le fait que nombre de Na’vi parlent anglais couramment. Dans sa simplicité, la précision du script prend très au sérieux la construction de son architecture narrative, fluidifiant à ce point l’enchaînement de ses situations qu’il rend invisibles les efforts en coulisses pour que le public pénètre cet univers étranger. Après tout, pas facile de faire accepter des personnages filiformes, au nez aquilin et à la peau bleue, ainsi que des créatures ailées qui, à vue d’oeil, tiennent autant du dragon que de la libellule.

Car l’air de rien, malgré ses 3h bien tapées au total et son budget monstrueux, Avatar ne propose pas la moindre scène d’action avant à peu près 120 minutes de film. Si action il y a, elle est contenue dans la découverte d’une faune dangereuse, l’apprentissage du vol et une très brève scène de chasse à dos de Banshee, apparue dans le second cut. Aucun affrontement entre humains et Na’vi, ni explosion. Avatar renoue avec un cinéma de l’exploration et, partant, de l’émerveillement, en héritage direct du John Carter of Mars de Edgar Rice Burroughs, source d’inspiration revendiquée par le réalisateur. Bref, un E forme de cinéma où un univers-monde reste à défricher.

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Jake Sully (Sam Worthington) fait son rapport au capitaine Miles Quaritch (Stephen Lang) sur la topographie et les moyens de défense des Omaticaya.

Vu l’ampleur du projet, nul doute que le long-métrage a été scénarisé en ce sens, ses dialogues amenant à Jake en même temps qu’au public des informations sur les règles, l’écosystème et la philosophie qui régissent le quotidien des Na’vi. Le b.a.-ba ? Certes, mais encore fallait-il l’écrire et le mettre en ordre. En cela, le film rejoint Titanic dans ses partis pris narratifs : 2h de découverte (machinerie/créatures, reconstitution/environnement fictif, horizon océanique/Pandora) pour 1h d’action, le tout raconté en flash-back et voix-off par le personnage principal.

Vecteur essentiel du cinéma de Cameron, l’immersion franchit ici une nouvelle étape. Depuis quand n’avait-on pas entendu une nouvelle langue, créé spécialement pour un film, nous inviter au voyage ? De même, on est en droit d’être étonné par la façon dont Cameron a digéré les croyances New-Age pour les adapter à un contexte de pure science-fiction : la déesse Eywa que vénèrent les Na’vi évoque ainsi un autre patronyme en quatre lettres, Gaïa, entité que les new agers tiennent pour vivante et qui les incite à être en harmonie avec la Terre.

Plus précisément, ce sont les « théories Gaïa » qu’invoque Avatar, idées New Age développées par leurs adeptes écologistes. Ces théories considèrent que chaque être vivant influe sur l’ensemble d’entre eux, envisageant le monde comme un tout. C’est l’idée, simple et complexe à la fois, que traduisait le fondu enchaîné entre la cérémonie des Na’vi et la planète Pandora décrit plus haut. Développer précisément cette influence demanderait un dossier plutôt qu’un simple article, mais la filiation expliquerait pas mal d’éléments noyés dans la masse.

Entre autres, l’oracle de la tribu et mère de Neytiri qui goûte le sang de Jake pour décider de son sort, comme si la matière vivante en disait plus long que toute parole. Voir également cette pause contemplative où la nature elle-même désigne Jake comme élu, possible pont entre deux cultures. Enfin, Avatar est l’un des seuls films à offrir un deus ex machina au sens presque littéral du terme, Eywa répondant à la prière de Jake en intervenant dans le climax, la faune prenant soudainement part au combat ; l’occasion d’un bel échange de regards entre Neytiri et un thanator.

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Le personnage de Neytiri (Zoe Saldana) croise le regard d’un thanator lors de la bataille finale, peu après que les forces de la nature commencent à se déchaîner sur l’ennemi.

«Le mot holisme (du grec holos«tout»), signifie que le monde n’est pas une juxtaposition de parties séparables mais une réalité d’un seul tenant (…) Quand il est confronté au multiple, au divers, l’homme du Nouvel Âge n’éprouve pas d’inquiétude car il sait qu’il ne s’agit que de l’apparence des choses (…) Une fois parvenu à ce niveau ultime, l’homme ne s’éprouve plus tel un être séparé de ses semblables. La nature cesse de lui être étrangère, elle fait un avec lui. Le concept de Dieu se transforme car le divin perd son caractère de réalité séparée et transcendante (…) L’altérité cède la place au fusionnel.» (1)

Dégraissé de superflu malgré sa durée, Avatar file droit vers ses objectifs, soit un crescendo animé par des enjeux essentiellement humains alors que l’empathie du public est dirigée, grâce au point de vue du scénario, vers des personnages extraterrestres. Autre rouage, alors que le public (re)découvrait le cinéma en relief, Cameron l’y invitait en ayant pour référent (ou avatar) un personnage handicapé, privé de sensations que son nouveau corps l’amène à ré-expérimenter. Une démonstration supplémentaire du souci d’immersion cher au metteur en scène.

Aligné sur les exigences de son frère d’armes, feu James Horner composa pour Avatar un score parcouru de percussions tribales directement héritées de son travail sur Apocalytpo. Il fallait bien ça pour ne pas perdre le fil d’un Cameron passionné, sa gestion de l’espace et son sens du montage n’autorisant pas de plan illisible ni aucun qui freine l’ampleur du spectacle. Sans star en tête d’affiche et assoiffé de grandiose, le cinéaste à la barre est bien celui de Titanic, obsédé du détail et participant à la construction de sa caméra 3D, soucieux d’offrir un rendu impeccable.

«Il s’agit de narration avant tout. Si vous regardez bien, historiquement, Jim a toujours eu cet effet sur le 7ème Art. Sans Abyss et son pseudopode, les trucages de Terminator 2 n’auraient jamais pu se faire. Et ce robot en métal liquide, il voulait à l’origine l’inclure dans le premier épisode ! Il ne savait pas comment s’y prendre à l’époque. Grâce à T2, ILM (2) a pu s’attaquer à Jurassic Park (…) Enfin, sans Titanic et les figurants virtuels animés en motion capture placés sur le pont du bateau, il n’y aurait sans doute pas eu de Seigneur des Anneaux. C’est ça, l’histoire du cinéma : ouvrir continuellement des portes. Ce que Peter Jackson a fait avec Gollum, voilà ce qui nous a remis le pied à l’étrier pour Avatar.» (3)

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Jake Sully en mauvaise posture lors du duel final avec Quaritch. Dans la droite lignée d’Aliens, le retour, c’est au personnage féminin que reviendra l’honneur d’abattre l’ennemi.

Fidèle à lui-même, Cameron place son ambition technique au service d’un choix narratif qui met progressivement le personnage féminin au centre de toutes les attentions, sans que l’histoire d’amour centrale ne prenne le pas sur la combativité ou la force de caractère du protagoniste. En cela, il rejoint encore un peu plus cinéma de Hayao Miyazaki dans son approche de l’imaginaire, homme dont les héroïnes, qu’elles soient fillette anonyme, princesse avérée ou adolescente tombée du ciel, ne sont jamais aliénées, ni abêties, par les sentiments amoureux ou la simple affection qu’elles ressentent pour l’étranger venu leur prêter main forte.

Inutile de lancer une bataille stérile en opposant certains cinéastes à leurs contemporains, mais ce sont précisément des films comme AvatarMad Max : Fury Road ou Speed Racer, tous excessifs à leur manière, qui peuvent faire préférer des gens comme Cameron, Miller et les Wachowski à la plupart de leurs concurrents. Plutôt que de rester à distance du miroir d’Alice pour tenter d’en expliquer le fonctionnement, eux osent passer au travers et s’exposer de toutes parts à leurs idées, quitte à mêler féerie bucolique, inspirations sous-marines, romance surannée puis élans belliqueux.

La où le cinéaste-ingénieur paye le prix de son approche, en plus des défauts déjà cités, c’est dans l’absence totale de recul émotif, même partiel, dont il fait preuve. Ici, pas de personnages secondaires dépassés par leur ambition (Titanic), de génies qui façonnent malgré eux la fin de l’humanité (Terminator 2), ni de second degré propre à noyer les clichés (façon True Lies). Méchants identifiables, gentils identifiables, et chacun doté convictions inébranlables – en dehors du héros, dont le parcours renforce néanmoins la fracture entre les deux camps. Avatar n’avait pas besoin de fausse complexité pour exister mais avec une caractérisation plus ambiguë, il aurait peut-être rencontré moins de spectateurs rétifs à ses archétypes, aussi assumés soient-ils.

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Le héros Jake Sully dans une pose christique dont on se serait largement passé, lors d’une intéressante scène d’introduction dévoilée dans la version longue.

Ceci dit, pas de quoi retirer au film une rigueur d’écriture et un sens du rythme que l’on aimerait voir plus souvent dans le cinéma grand public. Spectacle total et souvent exaltant que cet Avatar, ouvrage d’un type arrivé depuis longtemps au sommet d’Hollywood mais qui tend la main au public avec autant de passion que lorsqu’il filmait celle de son robot sauveur venu aider Sarah Connor. Un entertainer si conscient des moyens à sa disposition et des obligations commerciales que son oeuvre, malgré un retour sur investissement nécessaire, ne souffrira d’aucun placement de produit intempestif qui viendrait briser cette immersion loin du monde réel.

«J’ai toujours composé mes images en prenant compte de l’avant-plan et de l’arrière-plan. Chez moi, il y a toujours un élément intrusif au premier plan et j’utilise fréquemment les focales les plus courtes, qui fonctionnent bien avec la 3D, car j’ai toujours cherché à positionner mes personnages dans un environnement. Pour définir un contre-exemple, je n’ai jamais suivi la voie d’un Michael Mann, qui filme souvent ses personnages devant un arrière-plan composé de néons flous, dont on sait qu’il s’agit d’une ville. Ce style ne fonctionne pas en 3D, alors que ma mise en scène sur Titanic et même Aliens, le retour se transpose sans problème en 3D. En utilisant cette nouvelle couche, je n’ai même pas besoin de repenser ma manière de fonctionner ». (4)

Reste à découvrir ce que nous réservent les opus à venir pour vérifier si ces racines scénaristiques, simples mais sans faille, sont effectivement les fondations d’une aventure spatiale majeure. Et au passage, si le projet de James Cameron – soit une projection en relief sans lunettes 3D plus des défis techniques inédits en coulisses, dont une tentative de Performance Capture en milieu aquatique -, saura développer cet univers.

Après tout, les Omaticaya ne sont qu’une des nombreuses tribus Na’vi de Pandora, écosystème sur lequel Avatar n’offre, on l’imagine, qu’une petite fenêtre ouverte en forme de promesse. Prenons-en le pari : elle sera tenue.

 Guillaume Banniard

 

(1) Michel Lacroix, L’idéologie du New Age, éd. Dominos/Flammarion, 1998.
(2) Industrial Light and Magic, société d’effets visuels fondée par George Lucas et où Denis Murren, responsable des dinosaures virtuels de Jurassic Park, a fait ses armes.
(3) Propos de Jon Landau, producteur d’Avatar, in Mad Movies n°223, interview par Alexandre Poncet.
(4) Propos de James Cameron issus du dossier de presse.

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